<< cqlusterLab : node 0
cqlic->drag->read:
noding++ :
trombinoscopie
psytechtures
exhumances
13
filtre de filtres
cascade de crissements
cultive de l'esthétique à n'en mal
les jours sont une plage ,une odyssée transcorporelle noter ce mot
tout con j'ai tracé le schéma des religions comme si j'y voyais des gens morts ,les courants s'interpénètrent et s'instabilisent
ils baisent ,au vent et le drame se noue
se joue
feu

14
je trace aussi des villes puis je les scanne vitreux
cornent pendant cathédrales que des vrilles tribales en-déchirent
DONE ! (129 new files created in the "MULTI_OUT" folder)
vrombes ahannées va--gue--ment spectrales
telles que crampes insondent depuis les stigmates infra
soixante pour cent et les pâles inondent l'audion
http://localhost/bordel/cqlusternoise_v5.0.php?image=imgs/akileus.jpg&back=black&noise=3&resol=1
l'écriture décalée à échoué ?brulûre engendrée-t-elle par le tourné-froid
129 vagues ,le spectre de celles-ci ,en réceptacle pour cette poésie totale
11
tu te dis que tu es e-mortel
tu copies-colles une ligne vide
tu entends les chtones cogner au sol pour te signifier de baisser les basses
connards de chtones
tu te dis qu'il est temps de faire le point sur la spamologie oniverselle
tu te demandes s'il n'existerait pas finalement un complot ourdi par les chtones
tu te demandes aussi (il faut l'avouer) si les chtones se droguent
en fait ,la spamologie peut attendre

12
chercher la clé ,la fonction ,la terminologie
fragmentation entéléchique ,donc vers 74% ,étale
des yeux dans les murs ,insidiation
à tel point que je dois être un ralentissement quelque part carré je dois être carré à tel point que carre-toi ça dans le crâne que je dois être carré à tel point que ça-roule
hein j'en reviens
noter que faire l'effort de se fendre
chaud-froid ,suis clinique
gradients dans café ,encore clinique
scalp ,écrous ,en glissement
9
congrès de bêtes, au lointain - cinématographique (, l'être)
tenter de comprendre ces grégaires, tantôt suiciproies
dans seul cycle passe-passe poids de prédation

décidément multiples -vers cubes
jusqu'ici, à l'orée de l'horizon
incitent-ils à fuir, soit contenir l'inflation

(chant du cor ,souffle du cuivre)

éveils stratifiés :différents niveaux d'appréhension du réel
si Eveil = somme Appréhensions = constante, alors :si appréhensionRéel faible, quid [Eveil - appréhensionRéel] ? quelle appréhension est ainsi quantifiée ?


10
improvisation d'une cathédrale
accueil genre gif low D ,DIY stylee ,yeah
yeux rouges again putain ,comme sablés
depuis que j'ai ouvert ce parapluie dans le salon
:j'ai cette malédiction (mal à dire)
geek :en suis réduit lors de mes stroboscopies d'hyperlinks
à des erreurs 404 ,des files not found ,en passe
4
Désolé, ce profil n'est pas disponible pour le moment. Réessayez ultérieurement.
La Barca ,baby ,La Barca
j'aime ton côté lo-fi ,mais pas trop en fait ,car tue

5
trouver un local ,une accrétion invidée de neurones
:pour penser ,y mettre mien
beatless ,vintage synths ,trying to be fsol ,kind of cool
ouvrir la porte aux araignées ,littéralement ou non
gneiss animal ?faut-il laver les oeufs
surface lisse ,froide ,maximiser les échanges de chaleur :vivre avec cette thermodynamique
ailleurs ne pas descendre en-dessous de 16
essorage ,brainbash
faire une todo list -pas indélébile ,surtout
l'aporie de la poule et de l'oeuf ,version poediluante
- retravailler sur la TF cénesthésie -> poëme
- perl gui
- vue subjective du désert (avec blabla derrière)
Lips & Rev reloaded ,nostalgie reconnus ses traits ,respirait encore (FORBIDDEN)
Warning: imagejpeg(): supplied argument is not a valid Image resource in C:\Program Files\Apache Group\Apache2\htdocs\bordel\cqlusternoise_v4.0.php on line 192
tu fantasmes d'écrire comme un script hein
2/10/9 10:38 581
PLANTE DEMON
de l'importance du jappement de chien dans tout psychédélisme qui se respecte


3
Diese Präsenz ist leider nicht verfügbar.LoadSaveDelete wrote: yesterday evening Don't think so. It's just different.
stormchasar wrote: Tuesday morning Better than Maeror Tri I think.
TripleSol wrote: 13 days ago This is very beautiful music.
Arlek1n wrote: June 2009 ????? ?????? ?????? ????????????. ??????..???.
[deleted-user] wrote: June 2009 Trop tragiquement. Provoque le désespoir. Quand j'étais un petit garçon, dans mes rêves je tombais souvent dans le précipice, et il y avait des mêmes sons
FLORIAN_DARK wrote: June 2009 Beautiful And Mystery Music
SNR1984A wrote: May 2009 Estupendamente maravilhosíssimo!
Smerte wrote: May 2009 Wow!!!!!! really amazing!!!!!
atwinp wrote: May 2009 drone of the drones
pierre_dollain wrote: March 2009 THIS is the band
Dudewalker wrote: March 2009 Transcendental Force.http://localhost/instableur/Warning: rand() expects parameter 2 to be long, string given in C:\Program Files\Apache Group\Apache2\htdocs\instableur\cqlusternoised.php on line 146
vampires ,spam stationnaire ,oscillatoire?

0
des kilomètres de draftique
à en faire :
- un journal
- un programme pour le lab (des projets en/au cube)
c'est (si?) facile d'établir un setup ,toutefois y songer
genre un keylogger pour cerveau x [mixmux] seekNdestroy4text

1
odeurs d'un volcan ,humidité ,serre-ventre ,serre-coeur :contre-mort
abandon de l'éreintique du Bogue ,procrastination d'icelui
laisser pourrir 2 jours ,y revenir ,déterrer
les mots c'est toujours une expérience ,chercher la viande ,serre-dents ,serre-gerbe

2
non breakable space : révélateur de nos us
Radovan Diagnostic : joueur de football serbe ?saturation du cache
saturnation : syndrôme annelé ?saignements postapoc
Warning: move_uploaded_file(/images/necqro.jpg) [function.move-uploaded-file]: failed to open stream: No such file or directory in C:\Program Files\Apache Group\Apache2\htdocs\instableur\instable.php on line 5
lèche l'eau coule métal
lèche mes rouilles (mais rouille)
lèche m'éreinte ,sortijve exMachine :lancine encore

phLancine me, l'air chargé, µmarées de moiteur
coupe mais, l'air plombé, soies carcérantes
ESC via compresse ouf, ouais l'homme est :
  • un arachnide pour l'homme,
ouais mais l'homme est :
  • un ohm pour l'homme
des schémas, je te dessinerais bien le schéma des chiottes, de la bite qui tire et de l’hygiaphone à ovni. des schémas, assez de ceux, ces os qui s’entrecroisent, au point que :ciel s'obscure, de ces – schélatiques effrénées. dense l'air des membres en Shiva. continuum des emmerdes au sein du Charnier Ferraille, tant que sommes dans ses cubes, hypercernés². tes geintes en reverb x 6 faces, se façonnent une convergence – sans l’once d’une ouf compresse – vers le noyau, le noyau de mon crâne, la graine de mon ciboulot, ressource anticube. des schémas d’os réverbérés, des potentiels sphéroïdes ratiboisés à l’emporte-pièce, à la trique étriquée, à l’éthique petite, à l’attaque de cabinets. la bite, elle tire vers ta tête – panier de velléités ponceuses, moule à merde. des schémas, parles me s’en pendant des univers que j’élabore, les yeux dans le ciel, out of cube, hors de tes prédicats cubiques, tu que prolixes – remarquable recette menace hein petit populisme à crabes, proliférants, schémas de mains en hein en en fers.
le flux des électrons, même de biais. toutes ces insultes à l'intelligence. ô compresse ouf, ô. tous ces fossoyeurs du respect, tous ces paradoxaux, toutes ces doxa de peur, ô compresse ouf, ô. le flux des électrons, des petites vibrations, des petites chimies, ô compresse ouf, ô. la tête démontée, en quartier, en demi, piquée de ces insultes, carrément pas psychée. on devrait vivre dans des pièces ovales, dans des simili-grottes, peux plus des cubes, des empilements, nous stockent, nous pressent pour des cons, sans compresses ouf, plus des lignes soit ortho soit //, plus des paradigmes euclidiens, peux plus.
tête chiée, détournée, démontée à moitié.


                          mieux, ouais, mieux, sans compresse, deux œufs, on se les fait cuire. mieux, ouais, œufs, deux œufs, sans compresse, deux fois mieux, juste qu’hier, juste qu’avant, les alibis, hier encore, aujourd’hui, mieux, mais pas mieux, juste qu’alibi aujourd’hui, jusqu’à 32, cuire 5 mn, jusqu’à 32 donc – donc hier, ouais, mieux, pas hier mais jusqu’à avant-hier, mieux tout en alibi, juste mieux mais alibi, alors 2 œufs, jusqu’à 32, se les faire cuire.                           avoir été foreur, alibi à torpeur, ces reliquats de vers :hante. avoir été reliquat, reluqué le stress étoilé, ZzzZzzZzz.
fondre les mains, fondre le soir, abdiquer.
hacking des :nerfs (h)achés, ache = mal, absence de compresse. hack par le stress =fissures & implosion. hack par la peur =paranoïa, être un ovin, vaincu, vain. hack par compresse ouf =émulsion, nerfs en boucle, en pelote, hack compresse, hack caresse.
tête sciée, trafiquée, traversée à demi. irradiations sous-entendues, je rentre dans son bureau, méduse de bras. tête sciée, lancinée – d'invectives, lorsque pas de ouf compresse, lorsque le ciel est envahi de paroles inutiles, de téléphones aussi stridents que ses bras sont osseux, lord of the bullshit. mon ciel, seul réel, envahi jusque de démarches presque courues – dans les corridors, ces entrecubes, entrelignes, fissures du siècle. tête sciée, yeux bronzés, un truc douceâtre, juste en-deçà de la brûlure.
ça recommence, cette sensation, sournoise – de dévers. ça recommence et ça s'accumule. il y a une bonde de secondes qui fuit, sans ouf compresse pour mes nerfs, ah ça recommence, oui. ça recommence à fuir, à me fuir – bordel de bonde. à s'échapper, à m'échapper. ça prend forme, ça se déforme, sournoisement en dévers. par capillarité. login, merde aucun des 15 mots de passe ne veut, CAPS LOCK, virgules, tout ça, rien ne veut. les degrés, putain, la capillarité du moment, les faces, leurs faces – de fions. en mono, toujours, et pas l'ombre ouf d'une compresse pour mes neurones, je veux vibre. reload :toujours rien. donne tout, sois purge, sois efficace, téléphones en background, pas l'ombre en background, bavardages pressés, invectivés, résultat. purge. abandonne tout, chapitre six, démonstration et dimensionnement. dégradation des hypothèses, passage en revue de l'impact, je suis purge, je suis invectivé par le fonctionnement, les rouages purgent, te délitent, te transforment en fuyard :de toi-même. je rentre dans son bureau, lord of the bones, j'entends quelques instants ses expligations, chercher dans un tableau, puis le background me submerge, la conversation dans le cube d'à côté, stérile et le ciel. dessous, nous nous broyons les os dans la machine, le progrès est-ce la machine qui nous broie les os, à l'aise, nous, cous donnés, abandonnées, tendus – facile pour elle, inertiée. je verse, dévers sournois, je ne dépasse rien, je rentre dans son bureau et d'emblée je vois le ciel qui s'y déverse. tout y surnage, tout y est :rien. réunion, il se désarticule les explications, les bras venteux, il occupe un parallélépipède, il occupe une existence, lord of the bones, mais purge, purge lui-même, se, et les autres – donnez tout. soyons purge, mais je n'ai pas ma ouf compresse – ainsi que mon habilitation à faire abstraction du background, des stockages de cubes qui résonnent, téléphones.
on dirait, je sais pas, du gaz, on dirait une asphyxie, on dirait, je sais pas, quoi. on dirait, mais ça fait, je sais pas, ça fait – mal, ça fait c’est pourtant, ouf compresse, mais ça fait, je sais pas, mal, mais pas ouf compresse, ça fait mal, quoi.
des lieux en décomposition, contagieux – beauté de leur déréliction. rédaction de docs techniques, considérations asphyxiantes. riens considérés, renâclés, rabattus. heures en journées, de ça, de rien – de venir (devenir) caméléon des plus dociles (x2), teints cireux, teintes ternes, dessèchement et écriture squelette – l'origine de tous ces os. rédemption par le rien, justification par l'illusion – vite, mais ouf vite compresse de beats pour mes nerfs. me parle mais me demande tout ça, me parle mais me demande s'il n'est pas /\/\uté, mieux comme ça, après tout, après toutes ces années, vraisemblablement, toutes ces années :dans l'angle du mur, du bureau et de l'écran, dans l'angle des heures au point que les respirations anguleuses, avaler des airs anguleux, crus tancés – mais non je t'assure, purs, pas incrustés – de lignes. me demande la justification de ça, de rien. mais ouf compresse pour mes nerfs me branche hors = déconnection, plonge synapse(s) dans externéal, plonge rêve impulse. désinfection d'ici de matières à :univers accrétion création. compresse ouf fait un disque, centripète synaptique, déclenche implosion, fuite dans crâne. sous mes me demande, sous ses salives boulets, sous ces angles, sous néons aux blafards riens – cuboïdes contaminants. copie-colle, nouveau paragraphe, objet du document, récurrence du terme client dans les postillons, pluie internée, pluie folle de fous DANS MON PUTAIN DE REFERENTIEL.
nan mais veux juste compresse pour mes neurones, besoin ouf tu vois – pas besoin de constats stériles sur des problèmes de communication, sur des plannings, des avancements. tout ça ne mène qu’en céphalée, en brûle-yeux. tu as beau, tu me parles :et je regarde les nuages qui recouvrent tout ça, assombrissent le monde géométrique, cuboïde(s). je pense aussi à la bite dans les chiottes, au-dessus droite l’urinoir, sa signification ici au cœur du x000. sans compresse, suis flaque putain, flaque tu crois quoi, flaque au fond du bureau, flaque bouillie de neurones – compresseless.
même. même tout, même rien. rien mais rien mais rien mais rien, ad encore. ouais rien de rien de rien de rien de rien. putain mais pas ouf pas de compresse pour mes neurones, putain mais pas ouf pas de compresse pour plus rien. rien c'est rien c'est rien c'est rien c'est limite d'acceptation, c'est rien tu vois rien tu vois rien tu vois rien putain. seuil les remarques comme des os, toutes ces remarques sur les pages forment des squelettes, toutes ces pages sont un ossuaire. de rien. des os de morts pour rien, des os gesticulés vitupérés, des os de salive usée pour rien. rien pour rien pour rien pour rien. des os qui remplissent, des os qui s'empilent – à longueur. des os je vois des os et nauséeux je vois des os indéchiffrables, des os qui recouvrent des propos, des os proposés pour remplir, destinés à s'empiler, à propos des os il y en a dans propos, dans tous les propos qui sont tenus ici. parlait d'os ce matin d'ailleurs, de petits os d'animaux, d'os potassés version 40, d'os dans le béton, dans les déchets, d'os en ossements qui dépasseraient le seuil de déclaration. vois des os gris, pourrais voir autre chose que des os pourris, mais vois ces os gris, ouais ossements de rongeurs, très petits, ossements gris oui. petits frêles os comme des brindilles, des petites branches grises, aux écorces malades qui assombrissent les propos et aussi ces couches successives de salive étendues sur les propos pour justifier ces os qui les assombrissent, les rendent encore plus ad indéchiffrables, les seuils, les limites, moi je vois un nombre d’os de brindilles au mètre carré, 21 x 29.7 x [des pages et des pages et des pages] centimètres² ( = rien x rien x ad) d’os salivés à quoi bon pour des spécifications déjà usées dans nos os, ouais nos putains d’os, alors à quoi bon saliver des brindilles de remarques et barrer pour barrer pour barrer pour rien tout compte fait.
chose psy j’y resonge le soir, reconsidère davantage convergence vers ce mur.
dures phrases sur
masses, seuils, stressé de service, l'autre là, crois marmonne du genre pète un câble x 3 = pète un câble pète un câble pète un câble, l'odeur des produits d'entretien, les cadavres de mouches stagnant toute l'année autour de ma position, pas de signes extérieurs de décom(position), ô chitine.
mais ouf compresse pour mes neurones, chaque un compte-à-rebours des heures restantes avant soir, temps toxique ad aeternam, voire haine. appel :2 sonneries, voudrait parler, pas là, question :mesure passive, densité, je dis bien apparente, ah pardon, merci. retour tableau, interprétation de l'inverse et son contraire, comment – non. mais ouf compresse1 pour mes neurones, ouf mais le temps, est-il ralenti par quelque agent chimique dilué dans la ventilation. dehors tempête, pisser, observation les urinoirs toujours situés à droite des cabines, au-dessus du droit une bite qui tire des balles
(des balles !)
vers une cible indéterminée, il y a une flèche pour indiquer le sens de propagation (des balles)
, puis l'emplacement de trois vis, used to be trois vis, et quoi. quelque chose derrière le mur,
quelque chose de névralgique, j'y songe.

_________________________
1 qu’est-ce qu’ouf compresse :écouter des musiques aux rythmiques chaotiques et déstructurées point que bouleverser processus neuronaux en :
  • court-circuitant les micro-impulsions électriques,
  • créant des cocktails nouveaux de substances chimiques au niveau des synapses
emploie la torture sur le monde et ses carcans gavés de ––––––––––––––––––––––––––––––––– que :défaire/découper ces –––––––––––––––––––––––––––––––––, dissoudre les contours et réarranger, ré, ce matériau en de nouvelles formes :pulvérulentes et éthérées – libres.
c'est après que le ciel ,toujours comme
le ciel devenu comme _______
ça c'est le ciel après qu'il soit
redevenu comme - avant