JE FLAIRE TA BOUCHE OUVERTE EN TREMBLANT.
Je te sais. Je te sens. J'ai un œil pointu, spécialement développé pour soupeser ton humanité. Je te renifle. Je sens tout. Le moindre de tes tressaillements s'imprime en moi. Si tes paroles ne sont pas raccord avec tes gestes, j'analyse. Je te sens. Je te sais. J'ai un œil spécialement développé pour ça. Tes gestes ils m'éclaboussent, tes intonations je les enregistre. Je suis un œil. Je te sais. Il y a 10 % d'erreurs probables. Mais dis-toi que je saurai. À la fin. Je mets de côté toute défaillance physique. Le physique ne m'interpelle pas. Je suis concentré sur ton âme. Je la guette. Je la renifle. Comme un chien de chasse. Je suis la piste. Je t'aurai. Je saurai. Je sais toujours à la fin. J'enregistre. Je suis là pour ça. Je suis une caméra. Ni bienveillante ni malveillante. Je suis un terrain neutre qui t'enregistre. Qui enregistre les épaisseurs que tu mets entre toi et moi, par exemple. Si tu décides d'en mettre. Ça aussi je le sens. Ça aussi je sais quand ça pue. Parce que je sens tout.
Et crois-moi c'est invivable.
rss blues (notes en pure perte ou peut-être)
?s de collision frontale a décrochage d'un degré :voir ces vaines ~ cliquetances & calvities pulluler :noyaux fétides ,bulles d'un bain bacille ,gerbe lisse [...puis vu un homme-sandwich à moitié mangé] ,l'idée d'une littérature (voire d'une mouvance artistique) de l'interpolation ,localisable1 entre le réel et l'imaginaire fantasmé ,territoires in explorance .en morphose ,en dé-synthétisation ,puis re- …
1 -able :car en fuite ,référentiel fuyant ,toujours vers ,f(((t)))
compression de la poussière jusqu'au diamant, cet échafaudage d'instants à la perpendiculaire des autres, les vécus, mais si peu, peut-être dans la procuration des normaux, les divergés – les doutes aussi font même
ad x
orthagonie